Série chants et poèmes

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Shabkar Tsokdruk Rangdrol

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Une sélection de chants spirituels (mgur, glu) ou poèmes :

Acrostiche

Classification

Compassion

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En réponse à une question de sa compagne spirituelle, Khandro Tséring Chödrön, Jamyang Khyentsé résume l’essence de la voie en seulement quelques lignes. La question de Khandro prend la forme d’un poème « acrostiche », les premières syllabes des quatre lignes coïncidant avec les premières lettres de l’alphabet tibétain.

Kyabjé Khenchen Jigmé Phuntsok a chanté spontanément ce dohā en 1996, à un moment où divers obstacles externes, internes et secrets furent surmontés. Ce chant souligne l’importance de méditer sur le Dzogchen, de cultiver la bodhicitta, de maintenir une discipline éthique, et d’avoir une attitude positive.

Dans ce chant de vajra, qui est fréquemment cité, Longchen Rabjam emploie une série de métaphores et d’analogies pour encourager les pratiquants à renoncer à leurs préoccupations ordinaires et à cultiver en pratique la méditation du Dzogchen.

Longchenpa présente ce texte comme une lettre que son esprit se serait envoyée à lui-même. C’est donc un chant candide qui vient du cœur. L’essentiel du message est simple : quitter l’effervescence du saṃsāra et s’établir plutôt dans la tranquillité de la forêt, où « la méditation progresse naturellement » et où « l’on peut trouver la félicité de la paix intérieure ». Même si le grand maître est sans compromis à cet égard, le langage qu’il emploie, surtout quand il décrit le genre de sanctuaire naturel qu’il recommande, est inspirant et empreint de poésie.

Dans ce chant de vajra, Longchenpa a recours à diverses métaphores – un soleil levant, une lune brillante, une éclipse totale, un joyau magique ornant une bannière de victoire – pour évoquer les bienfaits d’une haute réalisation spirituelle.

Ce chant exprimant l’émerveillement de Séra Khandro provient d’une vision qu’elle a eue en retraite à Nyimaloung, dans l’Amdo, à l’âge de 29 ans. Le texte est sa réponse aux esprits et démons qui lui sont apparus, lui demandant ce qu’elle faisait.

En 2006, Khenpo Akhyouk (1927–2011) a encouragé Tsultrim Wangmo à mettre par écrit, pour la postérité, ses expériences d’autres domaines en tant que délok, ou revenante. L’année suivante, une équipe de femmes s’est réunie pour l’aider à consigner ses récits. Au cours de leur travail, leur foi en Tsultrim Wangmo a grandi, et elles lui ont demandé de leur enseigner. Elle leur a répondu qu’elle ne savait pas comment donner des enseignements formels, mais qu’elle leur offrirait plutôt ce chant.

Devotion

Dzogchen

Longevity

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