Traductions de Vincent Thibault

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Vincent Thibault

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Vincent Thibault est un écrivain, scénariste, éditeur, traducteur et pratiquant basé à Québec. En français, il a publié une quinzaine d’ouvrages, incluant des romans et des essais. Il a aussi traduit, à partir de l’anglais, des livres de Tulku Thondup, Traleg Kyabgon et Dza Kilung Rinpoché.

Textes traduits en français par Vincent Thibault

Atiśa Dīpaṃkara

Buddha

Ce court texte, qui figure à deux endroits dans l’édition de Dergé du Kangyour (Toh 521 et 981), inclut la formule des origines interdépendantes, communément appelée « ye dharma ». On dit qu’elle aurait été transmise à Śāriputra en tant que synthèse des enseignements du Bouddha Śākyamuni.

Populaire version nyingma de la célèbre Confession des transgressions du bodhisattva (byang chub sems dpa’i ltung bshags), aussi appelée Sūtra en trois sections (ou encore, « Sūtra des trois accumulations », phung po gsum pa’i mdo). On y invoque les trente-cinq bouddhas de confession pour purifier les chutes, fautes et transgressions du vœu de bodhisattva.

Cette brève invocation du Bouddha de la Vie infinie, qui figure dans le Nyingma Mönlam, combine un célèbre quatrain adressé à Amitāyus et le mantra et des passages tirés du Sūtra de la vie et de la sagesse infinies.

Possiblement le plus célèbre de tous les sūtras du Mahāyāna, le « Sūtra du cœur » est appelé ainsi puisqu’il condense le cœur, ou l’essence, de la perfection de la sagesse transcendante (prajñāpāramitā).

En réponse à une question du bodhisattva Ākāśagarbha, le Bouddha explique comment un bodhisattva sur le point de mourir devrait considérer l’esprit. Il importe, dit le Bouddha, de cultiver la compréhension de l’insubstantialité, de la grande compassion, de l’absence de références et du non-attachement, et de ne pas rechercher la bouddhéité ailleurs que dans la propre sagesse de l’esprit.

Dans le sūtra intitulé La Question de Maitreya (Toh. 85, Maitreya­paripṛcchā, byams pas zhus pa), Bouddha Śākyamuni narre comment Maitreya a formulé cette prière, alors qu’il était un bodhisattva aspirant à accomplir les six perfections et à cheminer sur les dix niveaux des bodhisattvas. Cette prière est aussi incluse dans la section du Tengyour contenant des textes divers (Toh 4378).

Cette aspiration à parachever les onze vertus transcendantes – générosité, discipline éthique, patience, diligence, concentration méditative, connaissance, moyens habiles, force, aspiration, sagesse primordiale et dharmakāya – est courante dans la tradition Sakya. Elle figure dans l’Anthologie de sādhanas.

Cette prière, communément appelée bstan ‘bar ma (« Les enseignements resplendissent »), est axée sur la diffusion du Dharma (bstan rgyas smon lam). Elle est particulièrement populaire dans la tradition Guélougpa. Le premier verset serait extrait du Pratimokṣa-sūtra (so sor thar pa’i mdo). Le reste de la prière se trouve dans la Grande anthologie des sūtras (Mahāsūtrasamuccaya ; mdo kun las btus pa chen po) préparée par Atiśa Dīpaṃkara.

Ces trois fameux quatrains, qui font référence aux Trois Joyaux – le Bouddha, le Dharma et le Saṅgha –, sont tirés d’un texte plus long qui apparaît dans le Kangyour et dans le Tengyour, où il est attribué à Nāgārjuna. La version utilisée ici est celle qui figure dans l’Anthologie de sādhanas.

Ces versets, extraits du sūtra de L’Entrée dans la cité de Vaiśālī (Toh 312), sont régulièrement récités pour que tout soit propice, et ils constituent donc un texte à part entière, tant dans le Kangyour (Toh 816) que dans le Tengyour (Toh 4406). La version traduite ici figure dans le recueil des œuvres de Jamyang Khyentsé Chökyi Lodrö (1893–1959).

Buddhagupta

Chatral Rinpoche

Chokgyur Dechen Lingpa

Dilgo Khyentse Rinpoche

Dodrupchen Jigme Tenpe Nyima

Des versets de louange à Patrul Rinpoché (1808–1887) que Dodrupchen Jigmé Tenpé Nyima a écrits pour sa propre récitation.

Une brève explication des célèbres rituels d’offrandes de fumée d’encens (sang, en tibétain), dans laquelle l’auteur décrit la visualisation et les bienfaits de la pratique.

Cette prière, écrite par le Troisième Dodrupchen Rinpoché pendant une période de troubles politiques, implore Guru Padmasambhava de protéger les Tibétains des agresseurs et des ravages de la guerre. Plus récemment, elle fut distribuée à la demande de Dilgo Khyentsé Rinpoché, qui reconnaissait qu’elle demeurait pertinente face aux bouleversements du vingtième siècle.

Une description candide et un brin comique des risques associés à une quête de savoir superficielle. Jigmé Tenpé Nyima affirme s’inspirer de sa propre expérience.

En douze points, Jigmé Tenpé Nyima offre des clarifications et instructions détaillées sur Le Joyau qui exauce les souhaits, la pratique extérieure du guru-yoga de l’Essence du cœur de l’immensité. Il décrit la terre pure de la Glorieuse Montagne cuivrée et le palais appelé « Lumière de lotus », célèbre les qualités de Guru Rinpoché, et souligne l’importance de la concentration, de la dévotion et de l’inspiration.

Remarques sur la profonde signification de différentes caractéristiques du vajra et de la cloche (parfois appelée clochette), deux objets rituels dont un pratiquant des mantras ne doit jamais se départir.

Un simple quatrain dans lequel on supplie Tārā de nous protéger de la peur et de la souffrance dans cette vie, dans les suivantes et dans le bardo.

Une prière en deux versets composée à la requête d’un disciple de Walshoul, dans l’Amdo.

Quatrain invoquant Guru Rinpoché, Longchen Rabjam et Rigdzin Jigmé Lingpa.

Dans ce très court texte, Jigmé Tenpé Nyima décrit trois façons – la meilleure, l’intermédiaire et l’inférieure – d’utiliser la souffrance et la maladie comme partie intégrante de la voie du Mahāyāna.

Dans ce texte inhabituel, l’auteur (qui s’amuse à dire qu’il lui a été demandé par un bouquet de fleurs) décrit les qualités et bienfaits des offrandes florales. La traduction originale, du tibétain à l’anglais, est de Tulku Thondup Rinpoché et Philip Richman.

Voici une explication de la prise de refuge dans laquelle l’auteur présente en termes simples ses objets, son essence, son sens littéral, ses subdivisions et ses bienfaits.

Dans ce court texte, Jigmé Tenpé Nyima résume les principales raisons pour lesquelles on considère l’enseignant comme un bouddha – un élément central du Vajrayāna.

Dudjom Lingpa

Dudjom Rinpoche

Fifteenth Karmapa

Fourteenth Dalai Lama

Geshe Chekhawa Yeshe Dorje

Gyalse Shenpen Thaye

Gyalse Tokme Zangpo

Jamyang Khyentse Chökyi Lodrö

Jamyang Khyentsé a composé plusieurs prières à Tārā. Celle-ci fut écrite à Darjeeling pendant le mois sacré de Saga Dawa, en 1957 ou (plus probablement) en 1958.

Cette brève pratique de guru-yoga, qui invoque Longchenpa et Mañjuśrī, fut composée à la demande d’un moine nommé Kounga Rabgyé.

Cette brève « méthode de récitation » (bklag thabs) contient des prières et pratiques à ajouter avant et après la lecture du Sūtra de la vie et de la sagesse infinies (tshe dang ye shes dpag tu med pa’i mdo).

Écrite à Bodhgayā à une époque où le Tibet faisait face à de grands bouleversements et à un avenir incertain, cette prière non sectaire vise la diffusion des enseignements bouddhistes (bstan rgyas smon lam) dans toutes ses formes authentiques.

Un bref éloge des seigneurs des trois familles (rigs gsum mgon po) : Mañjughoṣa, Avalokiteśvara et Vajrapāṇi.

Un guru-yoga simple axé sur Avalokiteśvara dans sa forme appelée Semnyi Ngalso (« Repos dans la nature de l’esprit »).

Jamyang Khyentsé a composé cette invocation adressée à Dza Patrul Rinpoché (1808–1887) lors de l’anniversaire du parinirvāṇa du maître, le dix-huitième jour du quatrième mois du calendrier tibétain.

Dans ces versets, Jamyang Khyentsé célèbre les qualités de Jigmé Lingpa (1730–1798) en décrivant en quoi il est supérieur à la majorité des érudits, adeptes et auteurs.

Ce court texte en vers est l’une des compositions les plus célèbres de Jamyang Khyentsé Chökyi Lodrö. Il offre une introduction à l’histoire et à la pratique du bouddhisme tibétain, et se termine par un encouragement à adopter une attitude non sectaire. Il fut écrit à la demande de l’auteur et diplomate indien Apa Pant (1912–1992).

Jamyang Khyentsé a composé cette prière après avoir complété la récitation pour la pratique de longévité appelée L’Arbre de fer (tshe sgrub lcags sdong ma), qui fait partie des Trésors du Nord (byang gter).

Cette prière composée en 1936 sollicite l’aide de Tārā pour surmonter différents obstacles, y compris les dangers, la pauvreté, les forces nuisibles et l’épuisement de l’énergie vitale.

Une supplique en quatre vers adressée à Tārā blanche, « Roue qui exauce les souhaits », qui triomphe de la mort et accorde longévité et sagesse.

Jamyang Khyentse Wangpo

Jetsün Drakpa Gyaltsen

Jigme Lingpa

Karma Chakme

Khenchen Ngawang Palzang

Khenpo Gangshar

Khenpo Pema Vajra

Khenpo Shenga

Lakṣmī

Longchen Rabjam

Minling Terchen Gyurme Dorje

Mipham Rinpoche

Un texte comportant seulement un quatrain, à réciter lors d’une offrande purificatrice de fumée (mnol bsang) et fondée sur la vue de la Grande Perfection.

Une liturgie concise à réciter lors de grandes accumulations d’offrandes de gaṇacakra.

Une pratique d’offrande de fumée (sang, en tibétain) très simple, que Mip’am a composée à l’ermitage de Thrangou en 1905.

Une brève série d’instructions pratiques, en vers, composée à la requête de plusieurs débutants.

Dans ce court texte rédigé sous forme de conseils pratiques, Mip’am Rinpoché définit trois catégories – calme mental, mouvement et claire conscience –, et montre que la compréhension du « secret de l’esprit » mène à des niveaux de réalisation plus profonds.

Cette prière générale pour la longévité des détenteurs des enseignements fut composée par Jamgön Mip’am Rinpoché en 1888. Elle fait partie des liturgies récitées quotidiennement lors du Nyingma Monlam Chenmo, grand festival de prières tenu chaque année à Bodhgaya.

Une pratique simple pour « sauver des vies » (tshe thar) composée par Mipham Rinpoché en 1897.

Cette prière à Mañjuśrī visant à amplifier le pouvoir de notre intelligence comporte quatorze quatrains – l’auteur ajoutant que c’est le nombre d’essences vitales (dwangs ma) qu’on trouve dans le monde animé et inanimé. Le texte fut écrit en 1906.

Mipham a composé ce court hommage en 1881, à l’occasion d’une retraite centrée sur Mañjuśrī.

L’Excellent vase de la splendeur (dpal gyi bum bzang) est une offrande de festin (tshogs mchod) accompagnant Une pluie de bénédictions (byin brlabs char 'bebs), le célèbre yoga du maître axé sur Guru Rinpoché et la prière en sept vers.

Une des nombreuses prières en quatre vers que Mip’am Rinpoché a composées à l’adresse de Mañjuśrī. Celle-ci invoque les glorieux pouvoirs de la parole de la déité.

Cette pratique répandue, qui inclut une longue série de mantras, rehausserait le loungta (« cheval du souffle ») et protégerait des obstacles. La récitation quotidienne est encouragée.

Cette prière pour la propagation des enseignements de la tradition Nyingma est l’une des compositions les plus célèbres de Mip’am Rinpoché. Elle est récitée quotidiennement pendant le Monlam Chenmo, festival annuel. Elle a par ailleurs fait l’objet d’un important commentaire de Shéchen Gyaltsab Péma Namgyal (1871–1926), élève et détenteur de la lignée de Mip’am.

Une méthode simple pour purifier les détériorations et bris de samaya grâce à la visualisation et à la récitation du mantra de Vajrasattva.

Ce guru yoga simple et répandu est axé sur la célèbre prière en sept vers (tshig bdun gsol 'debs) à Guru Padmasambhava qui fut d’abord révélée au 13e siècle par Chökyi Wangchuk (1212–1270).

Cette pratique simple d’Avalokiteśvara, le bodhisattva de la compassion, inclut une visualisation accompagnant la récitation du mantra en six syllabes, oṃ maṇi padme hūṃ (ou, si l’on préfère, le mantra en sept syllabes, oṃ maṇi padme hūṃ hrīḥ).

Nāgārjuna

Nyoshul Khenpo Jamyang Dorje

Padampa Sangye

Patrul Rinpoche

Rigdzin Gödem

Śākyaśrībhadra

Sera Khandro

Shechen Gyaltsab Gyurme Pema Namgyal

Shechen Rabjam Rinpoche

Tertön Mingyur Dorje

Thangtong Gyalpo

Thinley Norbu Rinpoche

Tilopa

Tulku Thondup

Tulku Zangpo Drakpa

Yukhok Chatralwa Chöying Rangdrol

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